Le Grand Rapatriement, Discours de Plieux

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C’est à l’occasion de la réunion annuelle du Conseil national de la résistance européenne (CNRE) que j’ai évoqué pour la première fois, voici tout juste un an, dans un discours que je n’ai malheureusement pu prononcer, le concept de Grand Rapatriement pour répondre de manière opérationnelle à la nécessité de remigration des fragments de peuple dissidents, invités de la première, deuxième voire troisième génération, faisant preuve d’indignité ou qui manifestent clairement leur défaut d’assimilation. Je conçois le Grand rapatriement comme la conséquence opérationnelle d’un divorce entre un peuple d’accueil et d’autres fragments de peuple, composés d’agrégats d’individus qui forment des diasporas nationales, ethniques, religieuses ou idéologiques insolubles dans la nation, avec l’idée de France. Ce discours a été lu le 28 septembre 2019 au château de Plieux.

Monsieur le Président, cher Renaud Camus, Monsieur le Vice-Président, chers membres du CNRE,

D’autres obligations m’empêchent d’être présent parmi vous, ce que je regrette, d’autant que les affaires qui nous amènent à nous réunir à Plieux sont du premier ordre. Il s’agit, bien entendu d’échanger d’abord sur l’organisation du CNRE, les objectifs que nous souhaitons poursuivre collectivement et les moyens à notre disposition pour y parvenir. Sur ce point, je vous ai soumis, il y a quelques mois, des suggestions d’organisation et de perspectives de développement. Je vous propose d’en débattre. Ensuite et surtout, il m’apparait primordial d’engager une réflexion commune pour identifier les aspects idéologiques, politiques et pratiques qui permettront à la France, à l’Europe, d’inverser les flux migratoires.

Le courageux et remarquable travail de Renaud Camus a permis de mettre des mots puis des idiomes sur le processus de remplacement de notre peuple. Il s’agit désormais de considérer l’option du « Grand Rapatriement » comme antidote du « Grand Remplacement ».

Le « Grand Rapatriement » consiste à organiser le retour massif et pacifique de populations allogènes, notamment subsahariennes, illégalement et légalement présentes sur notre sol; celles qui ont enfreint nos règles et celles qui, nonobstant leur qualité non-exclusive de français, ont clairement manifesté leur volonté de non-assimilation.

Le « Grand Rapatriement », par sa nature même, donnera lieu à de nombreuses reductio ad hitlerum, critiques proférées par les progressistes et les bonnes âmes par ailleurs souvent protégées des conséquences quotidiennes de l’immigration massive, à toutes les manipulations des esprits pour les convaincre de sa prétendue ignominie. C’est pourtant une démarche péniblement nécessaire à la sauvegarde de notre civilisation, dont la brutalité du principe est à la mesure de la violence migratoire que subit la France depuis près d’un demi-siècle.

En préalable à sa mise en œuvre devront être décidées la suppression drastique des pompes aspirantes de l’immigration puis l’application stricte de nos lois, opposables et à venir, pour provoquer l’inversion spontanée, accompagnée puis imposée, dans certaines circonstances, des flux migratoires.

Ces mouvements spontanés de retour aux pays d’origine des populations extra-européennes seront accompagnés d’autres flux incités par des aides économiques au rapatriement définitif ainsi que de flux d’expulsions, sans espoir de retour, pour les auteurs de crimes et délits.

Ces mesures ne répondent en aucun cas à une quelconque « haine de l’autre », à un racisme latent, ni à un repli sur soi, comme ne manqueront pas de l’affirmer les détracteurs du « Grand Rapatriement ». Elles sont destinées à préserver la civilisation occidentale de la submersion migratoire, principalement africaine, dans laquelle elle se dissout inexorablement. La mise en œuvre du « Grand Rapatriement » nécessitera une vaste réforme constitutionnelle et le retour de la primauté du droit français sur le droit européen.

Le « Grand Rapatriement » exigera par ailleurs un contrôle ferme de nos frontières et provoquera le bouleversement de nos habitudes de vie. Il aura en effet d’importantes conséquences, tant positives que négatives, sur notre économie, notre diplomatie, notre démographie, notre image à l’international, nos rapports sociaux, nos politiques urbaines. En France, en Europe, en Occident, le « Grand Rapatriement » demandera un effort de reconstruction collectif, ciment de notre renaissance commune. C’est le prix à payer pour la survie de notre civilisation, malmenée par une succession de décisions politiques permissives qui ont préparé le terrain à l’immigration submersive.

Ce droit à la survie est reconnu pour les peuples, les ethnies de la terre entière. Mais au nom d’une prétendue « oppression blanche », nous devrions accepter d’être remplacés, nous, simples héritiers d’une Europe jadis toute puissante, qui ne vivons que des subsides de l’Histoire ?

Le Grand Rapatriement est l’antidote au Grand Remplacement.

Il convient désormais d’en concevoir les justes, humaines mais fermes modalités pour ne pas confondre sauvegarde de notre civilisation et discrimination aveugle, raciale, arbitraire. Il ne s’agit pas de reconstituer une France 100% blanche, bien qu’elle doive très majoritairement le demeurer, mais d’aspirer à une France 100% française.

A propos de l'auteur

Grégory Roose

Écrivain et éditorialiste. J'écris des nouvelles et des récits courts. Mes livres sont disponibles ici

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par Grégory Roose

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