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Une étude scientifique danoise démontre que la diversité ethnique est loin d’être un gage de paix sociale, contrairement à ce que prétendent tant de médias et associations politisées pour promouvoir le multiculturalisme.
Le multiculturalisme est un concept inventé a posteriori pour feindre la maîtrise et la volonté d’un bouleversement sociétal provoqué par des vagues successives et continues d’immigration, notamment africaine, depuis la fin des années 1960. Ses vertus sont louées par nombre de politiques, de médias et de responsables associatifs qui imposent ce nouveau modèle de société comme s’il nous était hérité de temps immémoriaux et qui jettent sur ses détracteurs d’illégitimes soupçons de racisme, d’extrémisme. Le multiculturalisme, élevé au rang de dogme, se nomme Diversité.
Cette Diversité est promue, célébrée dans les médias, les publicités, comme une réalité qui se présente à chacun aujourd’hui ou s’imposera à tous, demain. La Diversité ethnique est indiscutablement une richesse dans l’esprit de ceux qui la valorisent sans en goûter les délices qui se nomment communautarismes, racismes, choc des civilisations, inassimilation, délinquance, iniquités, discrimination positive (autrement dit, favoritisme ethnique), islamisation…
Le mythe broyé de la « Diversité heureuse »
Cependant, ce mythe de la « Diversité heureuse » vol en éclat suite à la parution d’une nouvelle étude réalisée par des universitaires danois et corroborée par de plusieurs de leurs pairs a révélé que la diversité ethnique avait un impact négatif sur les communautés car elle érodait la confiance.
Cette étude, intitulée « Diversité ethnique et confiance sociale: une analyse narrative et méta-analytique » , a été menée par Peter Thisted Dinesen et Merlin Schaeffer de l’Université de Copenhague et par Kim Mannemar Sønderskov de l’Université d’Aarhus. Cette équipe de chercheurs danois a fait une méta-analyse de 1 001 estimations issues de 87 études scientifiques sur le rapport entre la diversité ethnique et la confiance dans nos sociétés. Elle conclut qu’un excès de diversité a un impact négatif sur la confiance entre les individus. Or, ce lien de confiance, valeur primordiale qui s’appuie sur la réciprocité, est à l’origine du pacte social selon Emile Poulat, historien des religions et sociologue : « Sans confiance, la vie en société est impossible », rappelait-il dans un entretien au journal Le Monde en 2013.
« Nous trouvons une relation négative, statistiquement significative, entre la diversité ethnique et la confiance sociale dans toutes les études. » affirme Peter Thisted Dinesen, l’un des principaux chercheurs impliqué dans cette étude. Selon, Eric Kaufmann, professeur de politique à la Birkbeck University de Londres, « une plus grande diversité est associée de manière significative à une confiance moindre dans les communautés»
Higher diversity *is* significantly associated with lower trust in communities, even when controlling for deprivation. A definitive meta analysis of the diversity-trust literature (pub date 2020): https://t.co/IU6v24LaFs
— Eric Kaufmann (@epkaufm) October 7, 2019
Le politiquement correct à l’épreuve de la réalité
D’autres chercheurs de diverses universités occidentales ont fait l’éloge de cette étude. Auteur du livre « Ce n’est pas l’électeur qui est fou » et professeur de sciences politiques à l’Université d’Amsterdam, Tom var de Meer, a qualifié l’étude «d’excellente et concluante». Les conclusions de l’étude vont à l’encontre du récit omniprésent qui est constamment répété sur les plateformes médiatiques mondialistes, dans les écoles et les universités, ainsi que par les bureaucrates de l’UE, à savoir que « la diversité est une force ».
Il est de bon de d’évoquer la Diversité et ses bienfaits comme notre nouveau mode de «vivre-ensemble», dont le multiculturalisme est le socle. Mais cette étude démontre que l’immigration massive érode la confiance de la communauté et nuit à la société. Loin de l’idée d’une Diversité «heureuse», comme s’acharnent à nous l’imposer les gardiens de la doxa, le multiculturalisme fragilise le lien social et porte en lui les germes d’une fracture durable de la société par l’avènement de communautés autonomes, disparates et identitaires dont la vocation ultime est d’atteindre l’indépendance, ce qui acterait la fin de la nation, en France comme dans d’autres sociétés occidentales.
Lien vers l’étude
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