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Accompagnés de quelques célébrités, une armée d’infirmes du verbe, condamnés à l’ombre par leur médiocrité, s’est ruée vers la lueur médiatique que leur a offert le journal Libé. Par gourmandise et par aigreur, ils ont saisi l’occasion de se hisser à la cheville de Sylvain Tesson pour tâcher de la lui mordre en meute.
Que lui reproche cet énième tribunal médiatique constitué suite à la nomination de l’écrivain-voyageur en tant que parrain de la 25e édition du Printemps des poètes ? D’être réactionnaire…voire d’extrême-droite. Ainsi, la tolérance et la Diversité prônées par ces gens ne sont-elles que des revendications fallacieuses. Ils reprochent notamment, à tort, à Sylvain Tesson d’avoir préfacé Le Camp des saints de Jean Raspail, alors qu’il avait préfacé un recueil de ses plus beaux romans, édité en 2015 chez Robert Laffont.
Espérons que la revendication importune du camp des riens reste lettre morte, au risque d’enfoncer davantage le monde de la « culture » dans l’enfer woke.
La tolérance ? Il y a des maisons pour ça, disait Clémenceau… Je plaisante, mais c’est vrai que les Gauchistes n’ont pas Raspail en odeur de sainteté, et qui n’est pas de leur bord, on le saborde.