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Les nouveaux maires verts appliquent déjà une écologie punitive sur fond d’idéologie progressiste, communautariste et antiraciste. Rien de plus efficace pour faire de l’écologie un repoussoir…
L’écologie est le nouveau cheval de Troie du progressisme. À peine élus à la tête de plusieurs grandes villes françaises (Marseille, Lyon, Strasbourg, Bordeaux, Grenoble, Tours, Poitiers… ), les représentants de l’écologie « vert pastèque » ont enchaîné les déclarations d’intentions, parfois ridiculement théâtrales, comme l’annonce de l’état d’urgence écologique à l’échelle de la mairie de Bordeaux, et les mesurettes écologiques. Ce qui marque cependant le début de leur mandat, ce sont les mesures privatives de liberté fondées sur les principes de l’écologie punitive, ainsi que les délires progressistes qui s’imposeront bientôt au quotidien des électeurs.
Écologie punitive et idéologie progressiste, les deux mamelles d’EELV
Les nouveaux édiles verts ont naturellement commencé à appliquer leur programme d’écologie punitive, à la surprise générale de ceux qui les ont portés au pouvoir, souvent sans l’avoir lu, et de ceux qui ne se sont pas donné la peine de voter contre celui-ci. Les premières mesures des écologistes touchent en plein cœur le quotidien des Français : moins de libertés individuelles, moins de pouvoir d’achat, plus d’insécurité. Le nouveau maire de Lyon donne la mesure. Il remet en cause l’usage de la voiture par des projets de ville « 100 % cyclables, 100 % marchables ». Mieux, il s’oppose également aux vols intérieurs et au projet de ligne à grande vitesse Lyon-Turin. Tous à pied ! Mais il ne s’arrête pas là. Il va également imposer la réduction de la consommation de viande dans les menus de la restauration collective et implanter des forêts urbaines, ce qui aura un impact significatif sur les loyers et le marché de l’immobilier. À Strasbourg, malgré plusieurs mesures écologiques qui vont dans le bon sens, la priorité est donnée au retrait de l’arrêt anti-mendicité et à la suspension des expulsions locatives. Quant à Marseille, le nouveau maire veut y désarmer les policiers municipaux, une mesure qui n’a d’écologique que le nom et n’améliorera pas la sécurité de l’une des villes les plus dangereuses de France.
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