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En marge de la commémoration du 11-Novembre à la Grande Mosquée de Paris, en présence du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, Chems-Eddine Hafiz a réaffirmé son refus sans équivoque de prendre part à la grande marche contre l’antisémitisme prévue à Paris le dimanche 12 novembre, à l’initiative des présidents du Sénat et de l’Assemblée nationale
Lors d’une rencontre entre des responsables musulmans et le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, le haut dignitaire musulman a exprimé son indignation en déclarant : « Je ne peux pas marcher à côté de personnes qui n’ont pas cessé depuis un mois de, permettez-moi l’expression, cracher sur les musulmans. Pas sur les islamistes mais sur les musulmans ». Le recteur n’a pas précisé comment il entendait dénoncer à son tour l’islamisme dans ses rangs.
Chems-Eddine Hafiz a expliqué qu’il ne souhaite pas se retrouver aux côtés de personnes qui, en raison de leur soutien à Israël, ont, selon lui, désigné les musulmans comme les uniques responsables des maux de la société. Malgré les rappels répétés qu’ils ont le droit de défendre Israël, le recteur de la Grande Mosquée de Paris trouve cette approche problématique.
Son refus de participer à la marche contre l’antisémitisme souligne les tensions persistantes et les divisions provoquées par l’Islam au sein de la société française notamment en ce qui concerne les perceptions de cette religion et de son influence politique.
Vous attendiez mieux ?…
d après news il a reçu une « fatoie » de la part de la Turquie ou Tunisie
sa position doit être inconfortable .