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Ces parents « polyamoureux non-binaires », c’est-à-dire deux hommes déguisés en femme et une femme déguisée en homme, élèvent deux jeunes enfants « non-binaire » et « anti-genre » (sic).
L’un des enfants (10 ans) est déclaré «non-binaire » et le plus petit (2 ans) est déclaré « anti-genre » par ses « parents ». Cela veut dire que ces adultes visiblement sains de corps et d’esprit emprisonnent deux enfants, dont un bébé, dans des « assignations de genre » qui sont pourtant des attitudes criminelles selon leur propre doctrine progressiste. Plus sérieusement, je vous laisse imaginer les ravages émotionnels,affectifs et intellectuels causés à ces jeunes enfants par la maltraitance égoïste de ces trois adultes, mais que les médias semblent porter en modèle de nouvelle normalité auprès de millions d’individus. Le phénomène de contagion sociale de ce diktat LGBTQIA+ chez les plus jeunes générations (Z et millenials notamment) est vingt fois plus important que chez les « boomers ».
L’Occident est biberonné à la déstructuration de la famille et au déni de la nature humaine. Pendant ce temps, l’islam conservateur et rigoriste tisse sa toile, opportunément face à notre décadence organisée, subventionnée et médiatisée de notre civilisation.
La négation de la création par Dieu, amène petit à petit à des situations dramatiques. L’humanité va à sa perte. Il semble que nous n’ayons pas vu le pire
c’est une chose de tolérer , une autre de promouvoir , ces gens ont peut être le droit de vivre comme ils le veulent , mais nous devrions avoir le droit de dire que ce sont des dégénérés , ( c ‘est à dire qu’ils on perdu les qualités de leur race et de leur genre )