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Les Français confinés redécouvrent leurs « commerces de proximité » au détriment des hypermarchés dont les ventes s’effondrent. La reconquête de centres-villes occupés par les marqueurs de la mondialisation et de l’immigration pourrait commencer au sortir de la crise.
Le confinement a permis à de nombreux Français de renouer des liens avec les “commerces de proximité”, souvent en souffrance dans des centres-villes délaissés, bien qu’ils fassent l’objet de plans gouvernementaux de “reconquête des centres-villes” depuis plusieurs années. Ces opérations de rénovation mettent l’accent (technocratique) sur le développement du logement social, la “redynamisation” commerciale ou encore la “revitalisation” des “cœurs de ville”, mais intègrent rarement l’aspect identitaire dans leur réflexion préliminaire, pourtant indispensable gage de réussite.
En France, la vie commerciale des centres-villes a subitement périclité dans les années 1960, après des siècles de présence, aspirée par les mastodontes de la grande distribution implantée dans ses faubourgs plus ou moins lointains. Ce commerce…
[…] nature totalitaire, dont l’efficace discrétion des débuts fait place à la revendication : l’islam, présentée comme une « religion de paix et d’amour », même après chaque attentat sanglant […]
[…] des négationnistes de l’abject, il n’existe aucun lien entre immigration, islam et attaques meurtrières sur des Français autochtones, ou qui en ont l’apparence physique. […]