Marseille, la mémoire sélective

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Pour les élus socialistes de Marseille, toutes les victimes ne se valent pas. Son maire, Benoît Payan, a inauguré, le 21 février 2021, une avenue à la mémoire d’Ibrahim Ali, un rappeur franco-comorien tué par un colleur d’affiches du Front national dans des circonstances troubles, il y a… 26 ans.

Cet hommage aux allures de récupération politique à peine voilée répond à un vieux serpent de mer qui consiste à camoufler la barbarie islamiste actuelle en faisant resurgir les fantômes d’un passé révolu. L’amalgame est facile, la recette bien rodée.

A propos de l'auteur

Grégory Roose

Écrivain et éditorialiste. J'écris des nouvelles et des récits courts. Mes livres sont disponibles ici

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