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Le pouvoir progressiste a pris un retard criminel dans la gestion de l’épidémie du coronavirus, marquant son incapacité à protéger les Français.
Gouverner, c’est prévoir. Gouverner, c’est décider. Frapper vite et fort quand la menace l’exige. Gouverner, c’est aussi et surtout protéger son peuple. Mais la macronie a préféré, dans un premier temps, prendre cette menace bactériologique à la légère, moquant l’alarmisme exubérant de la Chine et les mesures de confinement « disproportionnées » prises par l’Italie. L’ancienne ministre de la Santé déclarait, fin janvier que le risque de propagation du Coronavirus était « quasiment nul » en France. Quinze jours plus tard, alors qu’il fait son entrée en France, Agnès Buzyn abandonne le navire pour s’engager dans une course aussi vaine que désespérante à la mairie de Paris. Le 7 mars, Emmanuel Macron se rend au théâtre « pour inciter les Français à sortir malgré le coronavirus ». Une semaine plus tard, il annonce les premières mesures drastiques de confinement à l’échelle nationale. Combien de contaminations auraient pu être évitées pendant ce laps de temps ?
Lire la suite de mon article publié (c’est la première fois !) dans The Epoch Times…
[…] pandémie de Coronavirus répand dans son sillage les graines d’un cataclysme économique et financier dont […]
[…] qu’ils étaient au milieu du gué : le confinement durera un mois de plus, marquant l’échec du pouvoir progressiste à les protéger autrement que par des moyens rudimentaires. Les conséquences pour notre économie […]