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Le président brésilien élu Jair Bolsonaro, que la presse internationale accuse de racisme, de xénophobie et d’appartenir à l’extrême droite, a déclaré la semaine dernière que les réfugiés vénézuéliens qui arrivent dans le pays fuient une dictature et que le Brésil ne peut pas les abandonner. Bolsonaro a suggéré la création de camps de réfugiés au Brésil répondant à des contrôles strictes afin de militer l’arrivée massive d’immigrés ne répondant pas aux critères de « réfugiés ».
Bolsonaro connaît bien l’état de Roraima pour s’y être rendu à deux reprises au cours des quatre dernières années. Selon lui, cet était ne serait pas en mesure de résoudre la crise des réfugiés tout seul. Le président élu a déclaré qu’il est du devoir du gouvernement brésilien de répondre à cette crise tout en assurant un contrôle renforcé des Vénézuéliens arrivant aux frontières.
Bolsonaro: les réfugiés vénézueliens ne sont « ni des marchandises, ni des objets à renvoyer »
Bolsonaro était opposé à la proposition du gouverneur élu de Roraima, Antonio Denarium (PSL), qui envisage la fermeture de la frontière et plaide pour la création d’un programme visant à renvoyer les Vénézuéliens dans leur pays d’origine.
Ce ne sont ni des marchandises ni des objets à retourner. Si la démocratie ne se rétablit pas rapidement au Vénézuela, nous devrions prendre d’autres mesures, telles que l’exclusion du Venezuela du Mercosur. Les Venezueliens a ne peuvent pas être traités comme cela un pays démocratique.
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