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On nous dit depuis maintenant des décennie que la France est une terre d’asile. En réalité, ce n’est pas le cas. Nous, Français, pourrions mener une politique plus dure contre l’immigration illégale mais nos gouvernements successifs n’ont aucune volonté pour arrêter cette submersion migratoire, au risque de saboter le principe même du droit d’asile.
Ils étaient hier des clandestins et ils sont aujourd’hui des réfugiés climatiques, économique quand ils ne sont pas « migrants » à cause de la guerre dans leurs pays respectifs. Ils peuvent changer le nom qu’on leur attribut 100 fois, 1000, leur statut restera celui d’immigrés clandestins dont l’arrivée en France ne répond à aucune demande de notre part, à aucune logique économique.
Sauver le droit d’asile
Une autre politique est possible, elle est même souhaitable, une politique qui permet au véritable réfugiés, ceux qui risquent de mourir dans leur pays, je pense biens sur au chrétiens d’Orient mais il y a aussi d’autres communautés en danger comme les fermiers blancs en Afrique du Sud.
Cette autre politique migratoire est relativement simple, toute personne qui souhaite acquérir un jour la nationalité française doit obligatoirement être rentrée légalement en France et avoir toujours respecté les lois françaises. Ceci doit sembler logique dans n’importe quel pays du monde, mais en France n’importe qui peut aujourd’hui avoir la nationalité française pourvu qu’il se présente en victime.
Ainsi, pour immigrer en France, il faudrait d’abord se rendre dans l’ambassade de France dans son pays d’origine et expliqué la raison qui nous pousse à vouloir en partir pour la France. L’ambassade de France ferait une enquête sur le candidat au départ, pour être certain par exemple que cette personne n’est pas un assassin ou un terroriste. Une fois, que la qualité de demandeur d’asile est garantie, la France organise le voyage et s’assure que la personne soit bien accueillie.
Ainsi nous nous assurons de l’identité et du parcours des personnes que nous accueillons et leur permettons, le cas échéant, de remigrer dans son pays si la situation s’y améliore et s’il n’y est plus en danger. Pour ceux qui veulent obtenir leur nationalité française, il suffit qu’elle demande chaque année de rester en France si le casier judiciaire est vide alors c’est possible. Au bout de 5 ans la personne pourra demandé sa nationalité comme c’est aujourd’hui le cas.
La politique migratoire actuelle ne fait plus de distinction entre les migrations économiquest et les migrations vitales, ce qui met en danger notre longue et noble tradition d’asile.