Islamisme à l’école : un sénateur demande une commission d’enquête

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Un rapport confidentiel des services de renseignement, rendu public par des journalistes, a révélé que l’école subissait de plus en plus de dérives communautaires islamistes. A tel point que désormais, certains élèves refusent d’être assis à côté de camarades consommant de la viande de porc ou de dessiner des représentations humaines. Certains garçons ne veulent pas donner la main aux filles, quand d’autres refusent d’aller à la piscine de peur de « boire la tasse et de casser leur jeûne ».

Malheureusement, les pouvoirs publics préfèrent encore trop souvent fermer les yeux et plier aux exigences, sur le modèle des « accommodements raisonnables » canadiens. A Marseille, j’ai dénoncé, en Conseil municipal, le déplacement des Temps d’Activités Périscolaires du vendredi après-midi au mardi et au jeudi car, de l’aveu même des services de la Mairie, trop de parents préféraient envoyer leurs enfants à la mosquée plutôt qu’à l’école.

Devant les avancées de l’islamisme conquérant, ce sont désormais nos enfants qui sont en première ligne. Notre devoir impérieux est de les protéger. C’est la raison pour laquelle j’ai déposé, aujourd’hui, au Sénat une demande de création de commission d’enquête parlementaire afin de dresser un état des lieux exhaustif de la montée du communautarisme islamique au sein de l’école de la République, condition première pour l’établissement d’un plan de lutte implacable contre la progression de l’islamisme dans nos écoles.

Stéphane Ravier, sénateur des Bouches-du-Rhône