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Mercredi 15 novembre 2023, la basilique du Sacré-Cœur de Rouen a été le théâtre d’un acte de vandalisme choquant, suscitant l’indignation au sein de la communauté chrétienne et de la population attachée à son patrimoine, sauf du curé qui n’y voit pas un acte christianophobe, « aucun tag » n’ayant été découvert en ce sens (sic).
Située rue de Bourgogne, non loin du Mont-Riboudet, la basilique a été l’objet d’une effraction dans la nuit du mardi 14 au mercredi 15 novembre 2023. Contrairement à une première impression, le père Geoffroy de la Tousche, curé de la paroisse de Rouen, assure que cet acte n’est pas à caractère christianophobe, mais plutôt motivé par une cupidité sans scrupules. Rien d’étonnant dans cette déclaration quand on connaît la ligne idéologique du chef de l’église catholique. Nous sommes loin de l’esprit des croisades pour se défendre des agressions contre l’église.
Les malfaiteurs ont pénétré l’église par des voies détournées, détruisant une statue et renversant le tabernacle, témoignant d’un irrespect choquant envers ce lieu de culte. Cependant, selon le curé, il ne s’agit pas d’un acte de haine dirigé contre la foi chrétienne, car aucun message ou tag à caractère christianophobe n’a été retrouvé sur les lieux. L’aveuglement de ce curé est abyssal. Selon sa logique, si une mosquée est détruite de l’intérieur, mais sans aucun tag, il ne s’agit donc pas d’un acte islamophobe ?
L’analyse du prêtre est évidemment soutenue par les enquêteurs, soulignant l’absence de revendications et de signes associés aux actes à caractère anti-chrétien.
Les faits eux-mêmes sont pourtant signés et déplorables. Les intrus, après avoir saccagé l’église, ont tenté de forcer le tabernacle et ont dérobé des objets sacrés, dont des vases du XVIIIe siècle d’une grande valeur. Malheureusement, la basilique ne bénéficiait pas de vidéosurveillance, laissant place à des questionnements sur la protection de ces édifices sacrés. Le père Geoffroy de la Tousche, malgré le choc de cet acte de vandalisme, reste optimiste quant à la réparation du lieu, soulignant le soutien reçu de la part des autorités locales, de personnalités, et de la communauté tout entière.
Sûrement un acte d’amour vache par des non initiés aux coutumes des chrétiens mais jamais, oh non jamais, un acte anti chrétien! Quand certains cesseront-ils d’être complices pour préserver une pseudo paix sociale?
pauvre curé..; le mouton cherche l’abattoir..