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Le Franco-Béninois Kémi Séba, de son vrai nom Stélio GillesRobert Capo Chichi, est un activiste raciste anti-blanc, suprémaciste noir, antisémite et soumis à l’Islam après un séjour en prison en 2008, qui considère que « le peuple civilisateur n’est plus celui des Aryens, mais l’Africain noir » selon le politologue Stéphane François.
Celui qui s’est reconverti dans le panafricanisme, pensant qu’il faut brûler le franc C.F.A vestige du colonialisme qu’il veut inverser, vient de se faire refouler d’un troisième pays africain, le Togo, après la Guinée et le Sénégal, où il devait animer un «meeting contre la France-Afrique» le 8 août 2018 au cours de sa tournée « L’Afrique Libre ou la mort » (sic).
Le cœur de sa pensée racialiste a fait des ravages chez une partie de la jeunesse française issue de l’immigration et de nombreux politiques de gauche et surtout d’extrême gauche, considérant que les français Blancs sont les « descendants d’esclavagistes colonisateurs » et qu’à ce titre, ils portent la responsabilité du préjudice moral que les descendants d’esclave que sont les Noirs ont prétendument subi par leur aïeux.
Au-delà de cette perversion historique (une écrasante majorité des immigrés français originaires d’Afrique Noir n’ont jamais été des esclaves), Kémi Séba pousse sa logique dans ses propres retranchement en prônant la séparation des Noirs et des Blancs.
Il aura tout de même fallu plus de trente-cinq ans à cet ingrat raciste né à Strasbourg pour appliquer ses propres concepts et renoncer aux confortables aides sociales françaises en allant s’installer au Bénin, pays d’origine de ses parents. Prudent, il a tout de même conservé la nationalité française, sait-on jamais…
Kémi Séba s’est donc auto-remigré. Qui l’aime le suive !