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Un petit vent de polémique souffle autour d’une compétition internationale de beach-volley qui doit se dérouler prochainement au Qatar, pays du Golf qui applique la loi islamique, la Charia. Selon ses préceptes, les femmes doivent être couvertes. Le problème, c’est que deux sportives allemandes se sont insurgées de l’interdiction de porter un bikini à l’occasion de cette compétition sportive, ce que les autorités qataries ont finalement autorisé. Faut-il s’en insurger ?
Si tu es à Rome, vis comme les Romains ; si tu es ailleurs, vis comme on y vit
Je suis le premier à critiquer le comportement conquérant de certaines populations allogènes vivant en France et en occident. Voile islamique imposé dans l’espace public, apparition du Burkini…ces vêtements sont des marqueurs indésirables de l’islam en Occident et les pouvoirs publics seraient bien inspirés de les interdire, au même titre que les pays musulmans interdisent les marqueurs vestimentaires de la culture occidentale qui contreviennent à leur mode de vie. N’ont-ils pas raison de le faire ? L’honnêteté intellectuelle nous commande de répondre par l’affirmative.
L’Occident est insoluble en terre d’Islam. L’Islam est insoluble en Occident.
En février 2020, aux Maldives, une touriste canadienne en bikini est rhabillée de force par des policiers et habitants. En Indonésie, la province d’Aceh, sous l’emprise de la charia interdit le port du bikini. En 2013, un record de natation féminine a été refusé en Iran pour cause de « tenue non conforme à la charia ». Si ces mesures sont choquantes pour nous, occidentaux, elles répondent pour autant aux règles d’un pays qu’il convient de respecter lorsqu’on le visite. C’est par ces attitudes de bon sens que nous serons davantage légitimes à exiger que les ressortissants étrangers, ou d’origine étrangère, résidants en France se soumettent aux us et coutumes de notre pays et cessent d’imposer des habitus extra-européens.
L’Occident est insoluble en terre d’Islam. L’Islam est insoluble en Occident.
Grégory Roose
