Le téléphone sonna. C’était le Général. Habituellement, ce genre d’appels annonçait du travail supplémentaire, s’accumulant sur les dossiers urgents et les affaires en retard. Sa voix était grave et posée, légèrement grésillante.– Grégory ? Tu es occupé aujourd’hui ?– Pas assez pour vous refuser un service, mon Général ! répondais-je avec malice. Le Général...